Mise à jour December 31, 2025, 9:57 am

Soins néonatals : l’expertise de la diaspora sollicitée

Par Defimedia.info
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Le ministre de la Santé, Anil Bachoo (à dr.),  en compagnie du Dr Mangroo (à g.).
Le ministre de la Santé, Anil Bachoo (à dr.), en compagnie du Dr Mangroo (à g.).

Le ministre de la Santé et du Bien-être, Anil Bachoo, s’est rendu, le mardi 30 décembre, à l’unité de soins intensifs néonatals de l’hôpital Victoria, à Candos. C’est dans le cadre d’une démarche visant à améliorer la prise en charge des nouveau-nés au sein des établissements publics. Il était accompagné du Dr Kaushik Mangroo, pédiatre mauricien spécialisé en néonatologie qui exerce en Irlande, actuellement en mission à Maurice.

Cette mission prévoit des séances de travail avec les équipes médicales locales afin d’identifier des actions susceptibles de renforcer les services néonatals. L’objectif affiché est de contribuer à l’amélioration des soins aux nourrissons, notamment les bébés prématurés, et à la réduction du taux de mortalité infantile.

S’exprimant à l’issue de la visite, le ministre Anil Bachoo a remercié le Dr Kaushik Mangroo pour son engagement au service du secteur public de santé. Il a salué la mobilisation de la diaspora mauricienne, soulignant que « ses membres disposent de compétences et d’une expérience précieuses dans divers domaines » .

Abordant la problématique de la mortalité infantile, le ministre a indiqué que des efforts sont en cours pour moderniser les équipements médicaux et améliorer les services hospitaliers. Anil Kumar Bachoo a réaffirmé sa volonté d’améliorer l’ensemble des disciplines médicales « pour le bien-être de toute la population ».

De son côté, le Dr Kaushik Mangroo a mis en avant son engagement à contribuer au développement de son pays d’origine. Il a précisé que sa mission vise à soutenir les actions gouvernementales en faveur du renforcement des soins néonatals dans les hôpitaux publics. Il a souligné sa détermination à collaborer étroitement avec le personnel de santé afin d’aider à réduire le taux de mortalité infantile, actuellement de quatorze décès pour 1 000 naissances à Maurice, contre deux pour 1 000 dans les pays développés.

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